I- PROLOGUE

Nom : Masen est un nom qu'il a toujours eu en horreur mais il faut faire avec. En revanche il a toujours préféré le nom de famille de son côté maternel mais qu'il n'a malheureusement pas hérité, à savoir : Carwell.
Prénom(s) : Edward est un prénom vieux, certes, mais il ne l'a jamais détesté. Au contraire, il est même plutôt fier de ce distinctif rare. Au moins il est sûr d'être unique. Son second lui plaît un peu moins : Chuck est trop en vogue dans ce monde de fous...
Surnom(s) : Ed'. Simple et court à la fois, parfait pour notre jeune homme. Si seulement... il ne lui avait pas été donné par une certaine Alice Droban... les choses auraient été beaucoup plus simples. Depuis, il a gardé ce diminutif et ne se plaint pas lorsque l'on le surnomme ainsi, mais il ressent toujours un vide quand il l'entend... Eddy est le diminutif que sa mère lui a donné lorsqu'il était encore tout petit. Mais le jeune homme préfère de loin Ed', même si celui-ci lui provoque à chaque fois une déchirure dans le coeur...
Date & Lieu de naissance : Le mardi 14 Novembre 1986, à Boston.
Age : Déjà 22 printemps qu'Edward a fait son apparition sur Terre...
Métier : Etudiant

II- LA VIE

Physique (min. 5 lignes) :

"Je suis beau et je le sais. On me l'a assez répété alors que je n'étais qu'un petit gosse. Vous m'adorez, ne dites pas le contraire..."
> C'est vrai. Edward est plaisant. Digne d'un apollon. Il sait que la nature l'a gâté et profite de ce physique de rêve pour arriver à ses fins. Ed' n'a même pas honte de l'avouer. Le jeune homme peut dire merci à Papa et Maman pour lui avoir donné ce corps parfait. Mister Masen a hérité de la carrure fière et imposante de son géniteur et de l'air rêveur de sa génitrice. Le maintient d'Edward est assez fidèle à celui des autres hommes. Banal même. Droit comme un -i lorsqu'il marche, ne ramassant surtout pas les cailloux, et quand Chuck, de son second prénom, parle, la tête souvent penchée sur le côté {droit de préférence} comme s'il s'excusait d'être sublime. Les femmes se l'arrachent à cause de sa prétendue beauté et les hommes n'ont qu'une envie lorsqu'ils l'aperçoivent : l'envoyer en enfer. Soit dit en passant, la gent féminine damnée tomberait sûrement sous le charme du beau brun... Une seule personne n'a jamais reconnu qu'Ed' était beau. Son paternel. Cher lecteur, un père trouve toujours que ses enfants sont mignons, mais non, James échappait une fois de plus à la règle. VOus découvrirez par la suite pourquoi... Enfin bref, entrons sans plus attendre dans les détails du physique ravageur d'Edward. Il a toujours été raffiné, faisant partie de la haute société. Enfant, Ed' adorait passer des heures devant la glace dans l'unique but de réussir ses pics et sa crête. A présent, cette folie passagère l'a laissé tranquille et jamais il ne perdrait de son temps précieux pour son allure. Certes, Edward fait un minimum attention à l'effet qu'il produit mais même les cheveux en bataille, l'air bougon et les vêtements grotesques et dépareillés, le jeune Masen est séduisant. Et n'affirmez pas le contraire camarade, ce serait mentir ! Mais moi l'auteur, je m'éloigne plus encore de cette perspective de détailler; veuillez m'excuser. Les cheveux d'Edward sont assez faciles à dompter le matin et ainsi, il ne perd pas trop de temps pour des choses qu'il trouve forte inutiles. De petites mèches retombent délibérément sur ses beaux yeux lui donnant un air mystérieux et attirant. Mais lorsque l'envie lui prend, Mister Masen se rend chez son coiffeur particulier et fait couper tout ceci. De toute façon, qu'importe, Edward, Chuck Masen sera toujours beau comme un Dieu quoi qu'il advienne. Ses sourcils bruns sont légèrement broussailleux sans trop l'être ; ils forment souvent un -v reflétant à merveille l'air inquisiteur qu'Edward peut avoir. Souvent arqués aussi, c'est mauvais signe ; signe que le jeune homme est mécontent et qu'une tempêche est sur le point d'éclater d'une minute à l'autre. Ses iris d'un marron élégant et légèrement foncé peuvent vous paraître bien noirs dqns certains moments. En effet, les yeux d'Edward lancent des éclairs dans ses instants de morosité, et le mot est bien faible ; autant dire que ses iris sont souvent obscurs et alors il ne faut venir se frotter à lui, conseil d'amie ! Ses prunelles sont fascinantes, ensorcelantes, envoûtantes... et vous attirent dans des pièges insoupçonnés jusqu'alors. Vous n'en ressortirez pas indemne, si un jour vous arrivez à vous débarasser de ce regard si charmeur... ce qui est quasi-impossible, je vous rassure tout de suite ! Vous ne parviendrez pas à oublier ce mélange intense et doux que forme cette jolie partie du corps d'Edward. Le nez de celui-ci est tout de ce que l'on peut qualifier d'ordinaire. Peu aquilin et fin, il passe assez inaperçu comparé à ses yeux... Les lèvres de Mister Masen sont délicieuses, fines à l'extrème, l'envie ne manque pourtant pas d'effleurer cette bouche parfaite. Pouvant s'étirer en un sourire enjôleur ou en un rictus désobligeant, ses lèvres lui sont décidément bien utiles. Le menton à peine volontaire, ce n'est pas non plus ceci qui sera avoir des complexes à Ed' ! Pourtant, le jeune homme déteste une de ses parties du corps : ses mains qu'il trouve trop féminines à son goût. Mister Masen les cache souvent dans ses nombreuses poches et ne les sort que lorsque c'est vraiment nécessaire et qu'il n'a pas d'autres issues possibles. Côté vestimentaire, Edward a toujours appris à être parfait en toutes circonstances et en compagnie de quiconque. Son rang dans la société l'a hissé dans les soirées mondaines, et ce dès son plus jeune âge. Edward a donc été constamment élevé dans cette ambiance froide, rigide et hautaine. Cela laisse d'importantes marques, en partie reflétées sur ses habits. Donc il n'est pas étonnant de voir arriver Edward Masen dans des smokings hors de prix. Le jeune homme n'a pas appris à se vêtir de vieux survêtements le dimanche. Clean jusqu'à la fin.

Caractère (min. 5 lignes) :

"Je vous en prie, cessez de me voir comme un monstre égoïste. J'ai moi aussi un coeur. Peut-être souvent de pierre mais je ne suis pas insensible à toutes les choses qui se produisent autour de moi. La preuve : lisez mon histoire."
> C'est vrai. Edward est doté d'un coeur. Peut-être dépourvu de logique mais il n'est pas non plus totalement insensible. Certes, pas mal de choses lui passent par-dessus la tête mais lorsqu'il s'intéresse à un sujet ou à quelqu'un, celui-ci ne peut plus s'en dépêtrer. La volonté du jeune homme a toujours été de fer et déjà tout petit il faisait preuve d'énormément de caractère. Têtu à l'extrême, il peut en énerver plus d'un avec ses airs de "Tu ne t'en sortiras pas comme ça, je suis là pour veiller mon gars." Mais à l'inverse quand Ed' a été vraiment déçu, il laisse alors complètement tomber et a tendance à se renfermer sur lui-même. C'est peut-être bête à dire mais parfois, Mister Masen en a marre de se battre pour des causes qu'il sait perdues d'avance, dont il n'a aucune envie de les faire ou de les appliquer. Moi l'auteur, je sais ce que vous allez m'assener camarade, que les deux caractéristiques morales que je viens de citer sont totalement contraires mais il est très difficile de décrire un caractère alors qu'on ne sait comment le personnage réagira selon les circonstances, selon les personnes... Mais bref. Je m'attèle à la tâche comme on me l'a demandé. Edward, Chuck Masen peut aussi se montrer très fier et hautain, de part l'éducation dont il relève, lorsqu'il était encore enfant. Les soirées mondaines, ça, il connaît et il en a assez vu. Ces gens pervers et perpicaces qui vous observent et feignent l'amitié à votre égard, Ed' a donné aussi dans ce domaine. Le monde des riches est souvent envié mais ne vous méprenez pas camarade.. la réalité est tout autre. Pourtant à présent, je trouve que Mister Masen s'en est bien dépêtré. Certes, il gardera à jamais des séquelles mais il ne s'en est pas trop mal tiré, vu le mal psychologique que James -son paternel- a fait à Carolyn -sa génétrice-. La générosité n'a jamais fait vraiment partie d'Ed'. Mëêe si parfois il peut avoir pitié d'un sans-abri et lui donner une pièce. Mais je ne qualifierais pas cela de réelle générosité. Edward est plein aux as. Et seulement lorsqu'il a un peu pitié, il fait une bonne action !? Le jeune homme peut se payer tous les luxes et les moindres de ses désirs tandis que d'autres crèvent de faim à l'autre bout du monde et il n'a aucune pensée pour ces pauvres gens ? Mais je ne vais pas vous faire mon petit discours, ma façon de voir les choses, ce n'est pas vraiment ce qui vous intéresse j'imagine. Bref. Edward, Chuck Masen est aussi quelqu'un d'extrêmement moqueur. Un rien l'amuse, surtout lorsque ça ridiculise l'intéressé. C'est vraiment hilarant ! Tout du moins pour le jeune homme. Un brin pervers, Ed' s'est déjà fait prendre lorsqu'il regardait un tout petit peu trop insistement des jolies filles. Ces dernières en sont pourtant flattées mais ce sont leurs petits-amis attitrés qui sont un petit peu moins contents... Bref. Edward est aussi quelqu'un de très séducteur mais lorsque le jeune homme a rencontré LA personne qui lui correspondait, il est tout de suite devenu pour dragueur... Elles ne l'intéressaient plus. Une seule avait pris son coeur à jamais. Romantique, ça, le jeune homme l'est totalement. Il aime faire fondre les coeurs qui ne lui appartiennent souvent pas... Mais c'est ainsi.

Clan (Johnson ou Chris) : Les Chris

Histoire (min. 15 lignes) :

{___Préface*}

"Ma vie ressemble aux chemins délaissés après les bombardements. Des trous, des bosses, du désespoir, de l'espoir. Quoi qu'il en soir, il y a toujours un moment où personne ne passe sur ces sentiers délabrés. Pour moi, c'est pareil. Un jour j'ai l'impression d'être épaulé, le prochain je serai de nouveau seul pour affronter mon triste sort. Je savais que ça n'irait jamais mieux. Que je resterais éternellement esseulé. Mais un jour, une étoile filante a traversé mon ciel noir. Je me suis habitué à elle et lorsqu'il a fallu revenir à la douloureuse réalité, redescendre sur Terre et cesser de rêver, je me suis fait mal. Je n'étais pas préparé. Et la routine habituelle a repris..."

Chapitre premier : L'argent ne fait pas le bonheur.

> Je naquis sous l'oeil vitreux de ma grand-mère. Le 14 Novembre 1986. Mon père devait sûrement avoir une réunion ; il n'avait pu assister à ma naissance. Mais le traître a toujours affirmé que si. Ce fut quelques temps plus tard que je découvris l'ignoble vérité. S'il m'avait menti sur une chose aussi importante, devais-je aussi croire ses autres affirmations que démentaient ses yeux froids et perçants ? Directeur d'hôtels luxueux, James savait assurer de fausses vérités... comme lorsqu'il voulait faire affaire. La comédie avait toujours été son fort. Carolyn, ma mère, était mère au foyer et ne savait que faire de ses journées avant que je ne fasse mon apparition dans sa petite vie calme. Elle était une honnête femme et discrète, parfaite sur tous les points caractériels. Elle n'était pas la personne sublime que désirait sa belle famille mais elle était rendue jolie par son air rêveur, ses boucles brunes et sa bouche encore enfantine. On se demandait comment James Masen, un être aussi ignoble avait fait pour marier une si gentille fille telle Carolyn. On aurait pu croire au coup de foudre mais seuls les esprits naïfs auraient accepté cette fausse réalité. La vérité était toute faite : l'ingrât James n'avait pas voulu s'encombrer d'une sublime épouse et par la suite passer pour le mari trompé pour cause : il n'était jamais à la demeure familiale. Non dans l'histoire, c'était lui le trompeur et ma pauvre mère se faisait des illusions. Ou plutôt, ne faisait rien pour découvrir la vérité, elle se voilait la face. Ma petite enfance se déroula donc continuellement dans ce déséquilibre ; une mère délaissée par un père prolongeant sans cesse ses absences infinies. James avait pourtant eu la "bonté" de verser chaque mois de l'argent pour Carolyn et moi. Quel bienfaiteur ! Certes, je n'avais manqué de rien mais déjà en bas âge je voyais bien que ma famille ne tournait pas rond. Ma mère n'était pas non plus radieuse de se retrouver à occuper seule une immense villa avec son petit garçon ; en l'occurence moi. Aucune distraction ne lui était permise, hormis toujours et encore prendre soin de ma petite personne.
{___Gémir sur un malheur passé, c'est le plus sûr moyen d'en attirer un autre.*}
Ce fut après la lecture de cette petite citation que la jolie Carolyn décida de mettre un terme à ce véritable calvaire. Elle était emprisonnée par James bien que ce ne soit pas l'expression exacte ; néanmoins c'était ce qui y ressemblait tout au plus. La jeune femme apprit donc à sortir, se faire plaisir tout en s'occupant parfaitement de moi -comme auparavant-. Elle n'avait jamais été aussi resplendissante et même mon géniteur trouva cela suspect mais il n'osait pas -plus- "l'enfermer" de peur de passer pour une personne machiavélique auprès des médias, vu la confiance qu'avait très récemment acquis Carolyn. Cette dernière s'était rendue dans un club de jeunes mères ou celles-ci partageaient leurs savoirs et leurs diverses idées d'éducation. Pour jeunes riches évidemment, Carolyn n'était pas assez aliénée au point de se rendre dans quelque chose organisé par des personnes appartenant au bas de la hiérarchie. James ne l'aurait jamais au grand jamais accepté. C'est ainsi que je fis la connaissance de Maureen. Maureen Davis. Celle-ci avait mon âge et on ne pouvait réellement affirmer qu'une quelconque amitié s'était installée entre nous parce qu'à cet âge-là on ne fait qu'échanger cris et pleurs. A la limite "complices de hurlements" aurait bien correspondu à la situation. Bref. Je ne connu jamais le bonheur d'avoir un petit frère ou une petite soeur. James voulait faire de moi sa miniature, que je sois son modèle attitré, que je lui ressemble sur tous les points. C'est ainsi qu'il revint à la demeure familiale quelques temps plus tard...

> Evidemment l'ingrât ne témoigna aucune affection vis à vis de Carolyn, je lui en voulus énormément. Même âgé de huit ans je comprenais parfaitement la situation. Il était revenu pour redorer un peu son image déffraîchie par l'ère du temps, grâce à moi. Mais il ne s'était jamais réellement intéressé à ma petite personne, j'étais juste une monnaie d'échange. Aaaah, ce monde de fous... Honnêtement, où est passée la sincérité dans ce bas monde ? Comment pouvais-je être bien éduqué au milieu de toutes ces histoires ?
> Côté études, je pouvais me permettre les meilleures écoles, où les cours étaient enseignés par les meilleurs professeurs. Mais ce n'était pas vraiment le travail qui m'intéressait. Déjà à cette époque, je repérais aisément les jolies petites filles et déjà à cette époque, j'avais un sérieux penchant pour les blondinettes. Bah qu'est-ce que vous voulez ? Les blagues sur les blondes n'étaient pas encore inventées ! Trêve de plaisanterie. Les instituteurs ne cessaient de m'aduler au plus haut point... Simplement parce que j'étais la progéniture du richissime et célèbre James Masen. J'avais retrouvé la très belle Maureen Davis, qui était elle-aussi dans ma classe. Déjà elle était convoitée par les autres garçons et j'en devenais jaloux comme un pou. Je m'étais en quelques sortes approprié la jolie blonde et je ne supportais pas que quelqu'un d'autre que moi ne l'approche. Elle était la seule amie sur qui je pouvais compter, la seule que je savais pas hypocrite au point de fayoter auprès de moi. Elle aussi ses parents étaient des richissimes. Les autres enfants aussi étaient aisés, mais ce n'était pas pareil. Carolyn n'avait pas voulu m'envoyer dans une école où tous les élèves étaient ingrâts de part les biens de leurs géniteurs, la jeune femme avait visé à peine mon haut. Et James n'avait réussi à intercepter ce choix. Pour une fois qu'il n'avait pas décidé pour moi... Pour Maureen, c'était différent. Elle avait fait des pieds et des mains pour être dans le même établissement que moi. Je l'adorais, elle m'adorait. Tout allait bien, il était évident que nous devions être regroupés dans les mêmes écoles. Et c'était justement cet argument qui poussa Mr &&' Mrs Davis à inscrire leur fille chérie dans le même enseignement que moi. J'étais ravi. Mais dès que je voyais ces petits clanpins s'approcher un peu trop près de MA Maureen, j'étais terriblement vexé. L'innocente petite Davis ne remarquait rien... Ou tout du moins, elle s'y efforçait.
> Lorsque j'entrai au collège, James avait réussi à influencer la décision de ma mère. Carolyn s'était pliée aux volontés de l'ingrât Mr Masen. Je devais donc aller au collège le plus réputé de toute l'Amérique. Et celui-ci se situait à New-York. Direction... la Grosse Pomme. De toute manière, ça ne changeait pas grand chose, étant donné que l'on possédait diverses demeures à travers tous les Etats-Unis. Et donc forcément, on en avait une implantée à N.Y. Sur ce coup-ci, les parents de Maureen furent beaucoup plus difficiles à convaincre. Boston était leur ville natale à tous les deux, et il était fort compréhensible qu'ils ne veuillent pas quitter leur jolie villa. Mais encore une fois, Miss Davis, de part son talent d'actrice, réussit à convaincre John &&' Lola. Si ceux-ci se montrèrent réticents au moment du déménagement, ils se plurent au bout d'un certain temps d'adaptation à la Grosse Pomme. Et bien sûr, Maureen se retrouva dans la même classe que moi et j'en fus content, même si les regards légèrement pervers des gamins du collège me troublaient. Ils étaient encore plus insistants que ceux des gosses de Boston, et j'en fus évidemment encore plus jaloux. Jamais je ne m'étais douté que mon problème était que je tenais beaucoup trop à Maureen.

A TERMINER

III- NOTE DE L'AUTEUR

Avatar : Ed Westwick
Mots de passe : Air, Malice et Champignon**
Ton âge et comment tu as connu le forum : 16 ans et par un top-site.

B'jour..
Désolée j'avais complètement zappé Enemy-Families.. J'essaie de terminer ma fiche mais je ne serai pas là dans la semaine donc elle sera finie.. euhh.. je sais pas trop quand.
Oui je COMPTE TERMINER MA FICHE, Edward Chuck Masen n'est sûrement pas à mettre dans les posts vacants.
Voilà, contente d'être de retour ^^

Ah ! content de te revoir !
Si tu ne peux pas venir cette semaine tu la feras la semaine prochaine.

(J'avais proposé le pv à Alice parce qu'elle ne pouvait pas jouer avec son Edward au cas où tu ne viendrais plus )

Le contexte a changé, il faudra que tu le relises avant de continuer ^^
Maintenant la ville est séparée en deux, un côté résidentiel avec de jolis quartiers (Chris) et un côté destroy (Johnson)

Quand tu auras lu, envoies-moi un petit mp pour me le dire, j'effacerai tout ça pour que tu puisses continuer ^^