* Alice J. Droban *

"Et maintenant que vais-je faire ? Vers quel néant glissera ma vie ? Tu m'as laissé, la terre entière mais la Terre, sans toi c'est petit. Toutes ces rues me tuent. Et puis un soir, dans mon mirroir, je verrai bien, la fin du chemin..."
"J'avais gouté au paradis et je retombais en enfer'"

I- Prologue

Nom : Droban
Prénom : Alice, Juliet
Surnom : Alice n'a pas vraiment de surnoms, Lily à la rigueur..
Date & Lieu de naissance : Juillet 1987, le 7e jour du mois à New-York
Âge : 21 ans
Métier : Etudiante en arts plastiques

II- Once upon time

Physique (min. 5 lignes):
"Alice tu es la plus belle oeuvre d'art qu'il existe sur cette planète !"
"C'est pas bien du tout de mentir à sa meilleure amie Danny !" Répliquai-je en souriant.
Belle moi ? C'était se que pensait Dan, et pour cause il m'avait toujours aimé. Depuis notre plus jeune âge. Mais moi, je ne me trouvais absolument pas belle, à côté de ma meilleure amie Stella, grande, mince, blonde.. Moi j'étais la petite Alice Droban, du haut de mes 1 mètre 62. Ma peau trop clair, oui j'étais blanche, autant que mon robinet pour vous donner un ordre d'idée. Si clair que Dan m'avait toujours comparée à une statue de marbre. J'avais toujours été mince, pourtant je n'avais jamais fais de sport particulier, ni de régime. Côté poid je n'avais jamais eu à me plaindre ce qui était le bon côté des choses.
Mes cheveux long me retombaient avec souplesse le long de mon dos. Légèrement ondulés, il m'arrivait de me les lisser à l'occasion, bien que j'ai toujours aprécié leur ondulation. Je n'avais pas vraiment supporter de me les couper lorsque j'étais enfant alors du coup, je me les laissais toujours long. Cela m'allait bien mieux. Je prennais beaucoup soin de mes cheveux, toujours propres, brillants et souples, je ne supportais pas d'imperfections dans ma coiffure. Quoi qu'il en soit il encadrait mon visage volontaire.
Faute d'être rond et adorable, mon visage était fin et songeur. Bien que je ne me trouvais pas belle, je ne me qualifiais pas de laide non plus. Mes traits fins avaient toujours fait rêver ma meilleure amie qui rêvait de me ressembler, et pourtant je vous l'ai déjà dit, elle était une top model.
Mes yeux étaient souvent écarquillés en une expression, surprise, peinée, troublée ou honteuse. Mes grands yeux chocolats chauds avec mes longs cils sombres. J'avais un regard profonds, chaleureux mais emprunt à une éternelle tristesse, sans que je ne sache véritablement pourquoi. Mon petit nez légèrement en trompette, et puis ma bouche, pleine, bien proportionnée. Toujours teinté par un rouge à lèvre de mon choix, discret cependant. Je n'aime pas du tout tout se qui est flashy. Je souris assez facilement, bien que je déteste mon sourire. Du moins pas habitude je me retiens de le faire. Pourtant, mes dents sont allignées, blanches et tout et tout, mais c'est le fait d'avoir porté un apareil dentaire durant deux longues années au collège. Depuis ce moment, je m'interdis de sourire par réflexe. Mon sourire était pourtant toujours sincère, ou bien gêné. Dan m'affirmait qu'il adorait me voir sourire, et au file du temps, je finis par le croire. Mon visage n'était.. je vous l'accorde.. pas trop mal.
Je n'avais certainement pas des formes de déesse comme mon amie. J'avais de petites courbes timides qui ne m'enlaidissaient pas trop. Juste se qu'il faut où un peu moins là où il faut. Mon corps, j'avais appris à ne jamais miser la dessus. Je savais que comparée à des créatures divines, des créatures tombées du ciel comme un certain.. Edward.. Masen {ouil ! Prononcer son prénom m'ai toujours aussi difficile} j'étais d'une laideur accablante. Et pourtant, certaines personnes me trouvaient mignone, même belle.

Caractère (min. 5 lignes):
"Si tu es avec moi c'est ta réputation que tu perds..."
Je me souviendrais éternellement du jour où j'avais prononcé ces paroles. Mais cela n'est pas le sujet du jour. Mon caractère... Premièrement, je ne fais pas du tout partie de ce genre de personne, qui certes sont populaires, mais qui n'ont ni cervelles, ni repère, qui passent leur temps à faire la fête et à coucher à droite à gauche, qui ne fichent rien à l'école simplement pour dire qu'ils sont des "rebelles". Il faut dire que si je n'avais pas vécu tout se que j'ai vécu, je détesterais ce genre de personne, mes les circonstences actuelles me force à en aimer. Je suis du genre posée, douce et effacée. Oui effacée. Car être la meilleure amie tu mec le plus sympa et apprécié du lycée et de la fille d'une beauté si extravagante qu'elle en devenait cruelle, ce n'est pas super pour se faire remarquer. Moi, timide et sympatique. Lorsqu'on me parlait, j'étais rarement méchante ou associable, mais encore fallait-il venir me parler. J'ai toujours eu le sens des responsabilité. Je sais parfaitement me débrouiller seule, d'ailleurs je suis très débrouillarde.
Je n'ai jamais fait partie des bandes d'amis IN du lycée, trop "intello" pensaient certains, il faut dire que j'aimais travailler pour mon avenir, sans être une de ces personnes qui ne pensent qu'à travailler, j'aimais avoir de bonnes notes, d'ailleurs, même sortit du lycée, je j'étais plutôt travailleuse et perfectionniste, j'aimais quand les choses étaient bien faite. Peut-être pas assez sa****, oui je n'ai jamais aimé la souffrance, la douleur, empathique même je détestais faire du mal aux autres {et pourtant ça c'est produite plus d'une fois...} je me sentais tout de suite mal lorsque je me montrais cruelle. J'essayais toujours de me mettre à la place des autres.. Mais ma gentillesse peut être un défaut, j'étais presque naïve et certaines personnes pouvaient facilement me manipuler, ou bien me faire du mal..
Sensible, impressionable. Je me sentais vite blessée ou rejetée. J'avais tellement peu confiance en moi que le moindre rejet me terrifiait, je chagrinais beaucoup. Je voulais tellement plaire et être aimée... Je faisais tout pour, bien que je n'aimais pas être un de ces robots qui ne pensent qu'à leur apparence.
Romantique, oui un peu trop. Je rêvais du grand amour -soit dit en passant, ledit grand amour que j'ai trahis et laissé filer plus d'une fois- j'étais plutôt exigeante question hommes, je ne voulais absolument pas être déçut. J'avais mon style bien à moi, un prince charmant qui ne penserait qu'à moi et ma petite personne. Et pourtant, j'étais tombée sous le charme du pire des crétins cruels.. en apparance seulement bien sur.

Clan (Johnson ou Chris): Les Johnson

Histoire (min. 15 lignes):

Chapter one : Before You
* Alice J. Droban * Iconleightonmeestergr2

* Alice J. Droban * Iconleightonmeestergr2

* Alice J. Droban * Iconleightonmeestergo

Je suis née à New-York, dans un petite clinique pas très réputée. C'était la plus proche du modeste appartement de mes parents Daytona et Nate Droban. Ma mère était secrétaire médicale et mon père travaillait dans une usine. Autant vous dire que l'argent ne coulait pas à flot. Pourtant je reçus tout l'amour nécessaire et jamais je ne me plaignis de ne pas avoir une grande garde de robe ou bien de n'avoir que trois paires de chaussures au lieu d'une vingtaine comme certaines filles. Deux ans avant mois était née Michelle Droban, ma grande soeur. Elle se donna la mission de me protéger dès ma naissance. Michelle, dit Mimi pour moi seulement, était une petite fille tout à fait charmante. Son visage d'enfant était déjà volontaire et elle arborait quotidiennement une sourire enjoué. Ses cheveux bouclés rebondissaient sur ses épaules et elle avait toujours un oeil sur moi. Et c'est dans cet univers que je naquis, moi Alice Juliet Droban. Alice était le prénom de mon arrière grand mère du côté de ma mère. Elle était très connu dans la famille, nos vieilles histoires familiales racontaient qu'elle était une médium hors du commun. Mon père ne croyait évidement pas à tout ceci, mais il faisait semblant, sa faisait tellement plaisir à ma mère de vanter les mérite de notre humble famille. On disait que je lui ressemblais beaucoup, à Alice. Lorsque je regardais les portraits d'elle, je me rendais compte que je n'arriverais jamais à sa hauteur, elle était d'une surprennante beauté. Juliet, car ma mère était totalement fan du chef d'oeuvre de Shakespeare, Roméo & Juliette. Elle avait bien sur écrit ce nom un peu plus contemporainement. Dans la famille, Daynota, ma mère, était un peu la "leader". C'est elle qui prennait toutes les décisions importantes et personne ne bronchait. Déjantée et pleine de vie, elle avait une passion folle pour les voitures de courses, chaque week-end nous rendions visite à Stan, un ami de ma mère qui était pilote de course. Daytona avait bien sur appris à conduire et s'en donnait à coeur joie. C'est ainsi que Daniel devint mon meilleur ami. Dan -du moins moi je l'appelais Danny- était le fils de Stan, il avait exactement mon âge et était d'un naturel joyeux. Amusant aussi, il me faisait rire à en pleurer. Dan était jusqu'au collège, mon seul ami.
Evidement, Stan était plein aux as. C'est lui qui paya mon inscription pour le collège privé où Daytona rêvait de m'envoyer. Mes parents avaient déjà vidé leur compte en banque pour l'inscription de ma soeur aînée Michelle dans ce collège très chic des quartiers riches de New-York. Mais pour la parfaite Mimi, rien n'était trop cher. Michelle était une surdouée, belle et sportive. Bref la fille idéale. Elle avait tout les habits qu'elle voulait et aspirait même à être pom-pom girl. Vous imaginez un peu. A côté d'elle, je n'étais vraiment rien du tout. Personne n'aurait pu penser que nous étions soeurs. Je fis donc avec apréhension mon entrée dans le très chic collège privée, heureusement il y avait Danny dans ma classe.
Uniforme, règles stricts et bande de gens populaire. Là j'étais sûre d'être chez les riches. Je savais parfaitement que je faisais tâche à côté de tout ses gens, j'eu peur que Dan ne devienne comme tout les autres, mais non, il resta égale à lui même et ne me quitta pas. Je vis aussi la connaissance de Stella, LA plus belle fille du collège. Elle avait un an de plus que moi, mais elle n'avait pas du tout ses grands airs de reine. Beacoup de monde rêvait d'être son ami, et pourtant, c'est avec moi et Dan que Stella passait le plus clair de son temps. Souriante, belle et brillante elle faisait beaucoup penser à ma soeur Michelle. Sauf que Stella était évidement, grande et blonde, une vraie Californéenne. Elle venait d'un village ensoleillé du bord de mer mais ses riches parents avaient trouvé un emploi à New-York qui payait beaucoup mieux. Et bien vite, Stella, Dan et moi devinrent inséparables.
Mes résultats scolaires étaient très bons, j'aimais travailler il faut dire. Stella, au contraire était en chute libre. Elle avait trouvé bien d'autres occupations que de travailler et ses brillantes notes de cinquième n'étaient plus qu'un souvenir. Elle redoubla sa troisième. Pour Dan et moi ce n'était pas une si mauvaise nouvelle, nous étions tout trois réunis dans la même classe pour la dernière année de collège. Après quoi, nous devrons affronter le monde terrible du lycée. J'en avais déjà des mots de ventre. Si ma soeur Michelle s'y plaisait énormément, je savais que m'intégrer parmis tout ces riches gens et ces bandes IN ne serait pas aussi facile pour moi. Stan avait promis de me payer l'inscription dans le lycée privé où tout ceux de mon collège allaient. Mais je ne me sentais toujours pas à ma place. Stella, Dan, Michelle tous avaient trouvé comment faire pour se sentir parfaitement bien. Et moi je restais sur le carreaux. Heureusement, mes meilleurs amis ne m'en tinrent pas rigueur. Ils mettaient ça sur le compte de la timidité. Timide, je l'étais, mais je savais m'affirmer. Et pourtant, dans ce collège, en trois ans, je n'avais jamais réussit à le faire.
Cette dernière année de collège fut pourtant haute en couleur. Dès la rentrée je ressentis une changement. Déjà, Stella n'adressait pratiquement plus la parole à Danny qui lui m'observait sans arrêt. Si ma beauté parfaite de meilleure amie était plus réservée et sur les nerfs en ma compagnie je ne compris pas immédiatement pourquoi. Alors que Dan me collait plus que jamais, Stella s'éloignait. Je finis par en parler à Danny. Nous étions seuls, tout les deux, Stella était parfait faire quelque chose de confu, elle était partie sans vraiment donner de raison. Nous étions assis sur un banc. Il faisait beau ce jour là, s'était sans doute un des derniers jours de soleil, octobre arrivait à grand pas. Une brise fraiche venait déjà secouer les feuilles des arbres entre elles se qui provoquaient un brissement sonore. J'étais entrain de détailler très précisément le comportement qu'adoptait Stella en ma présence. Assise et bien droite, je faisais des grands gestes, j'avais toujours parlé ainsi. Dan lui, était plus enfoncé dans son fauteuil, il me regardait et je le soupçonnais de ne pas m'écouter. Mais j'essayai de passer outre. Au bout d'un moment, alors que j'étais entrain de relater le fait qu'elle m'était passer devant sans un regard, Dan m'interropu : " Je t'aime." Déclara-t-il seulement. Je me stoppai aussitôt, encore la bouche ouverte, les yeux exorbités. Tétanisé, que.. comment... mes pensées s'entre choquaient dans ma tête. Daniel avait l'air parfaitement détendu, il riait même. Il se redressa, mit sa main derrière ma nuque et m'attira vers lui. J'essayai de l'en empêcher mais il ne sembla pas vraiment comprendre car il plaqua mes lèvres contre les siennes, fermant les paupières pour profiter de... notre baiser (?!) Moi, je gardai les yeux grand ouvert, essayant de savoir quand est-ce qu'il allait enfin me relacher, j'essayais de trouver un moyen de me libérer de son emprise, en vain il était trop fort pour moi. Quelques longues secondes plus tard, il me lacha enfin, nos lèvres se séparèrent en un bruit de ventouse, je me reculai aussitôt. Il m'observa un moment, j'étais encore sous le choque, lui, il éclata de son rire clair et joyeux. "Je sais parfaitement que se n'est pas réciproque Alice. Je voulais simplement te mettre au courant." Comment pouvait-il être aussi détendu ? Aussi calme et rieur ? Moi j'étais déboussolée. La bouche entre ouverte, les yeux ronds, je me levai du banc, tel un automate et commençai à marcher en direction du hall. Dan ne bougeai pas. Je n'y croyais pas. Daniel, mon ami d'enfance. Celui avait qui j'avais grandis, celui avait qui j'avais passé temps de bon moment. Celui que je voyais comme un frère. Et c'était lui qui m'avait donné... mon premier baiser.

{Désolé cela ne tenait pas en un message}

Alors que je me dirigeai vers le batiment, essayant de mettre de la distance entre moi et Dan je LA remarquai tout de suite. Stella. Elle était pas trop loin du banc sur lequel j'étais avec Dan. Elle me fixait d'un air massacrant, comme si j'étais la pire des traitresses. Je me plaquai la main contre la bouche. J'avais tout compris. Stella aimait Dan. Ce même Dan qui venait de m'embrasser sous son nez. Même dans un mélange de fureur et de tristesse, ma meilleure amie -enfin celle qui l'était pour l'instant- était d'une beauté stupéfiante. Ses magnifiques yeux d'un bleu océan d'où s'écoulaient des larmes brillantes. Sa bouche si bien faite légèrement entrouverte qui laissait apercevoir ses magnifiques dents blanches et alignées. Ses cheveux dorées virvoletant au rythme du vents, passant devant son fin visage de marbre. Je sentais sa haine. Elle me détestait. Durant plusieurs mois, notre trio infernal et qu'on pensait si soudé fut complètement brisé. D'abord, je mis très longtemps à reparler à Dan. Bien sur, je le voyais tout les week-end, mais au collège je l'évitais plus que jamais. Si Stella nous voyait ensemble elle m'en voudrait d'avantage. Daniel était tellement raide dingue de moi qu'il passa tout mes caprices, il accepte de me voir que lorsque Daytona (ma mère) venait voir Stan. Je me sentais beaucoup moins à l'aise avec lui qu'autrefois. Je savais que j'avais cherché à se qu'il ne ressente quelque chose pour moi. Bien qu'inconsciemment, tout était ma faute. Mais Dan s'accrochait. Au bout d'un mois ou deux, je finis par décidé qu'il ne servait plus à rien d'éviter Dan. Je ne voulais pas perdre mes deux meilleurs amis. Faute de pouvoir les conserver tout les deux, j'en aurais un à moi. Notre relation avec Daniel redevint celle d'avant. Il finit par me faire croire qu'il ne ressentait plus rien pour moi, et je finis par oublier qu'il m'aimait. Stella refusait toujours catégoriquement de nous parler. Jusqu'au jour où, brusquement, alors que je descendais de mon bus, Stella se rua vers moi. "Alice, j'ai des millards de choses à te raconter !" Je savais alors que la paix était signée. Elle arborait de nouveau son magnifique sourire, elle s'était habillée avec sa tenue préférée, elle s'était coiffée d'une chignon que je lui avais moi même appris à faire, elle passa son bras derrière mon coup, et commença à raconter beaucoup de choses en même temps. Je ne compris pas vraiment se qui se passait. Au bout d'un moment, je finis par l'écouter et décider que la paix était véritablement signée. "Et puis le meilleur pour la fin : Je sors avec Danny !" N'afficher aucune expression. N'afficher aucune expression. N'afficher aucun expression. Je me forçai à sourire, mes talents d'actrice n'étaient pas si rouillés que ça. Je sortis un minable "OOooh.. super" qui la fit sourire de plus belle. Je comprennais désormais pourquoi elle me parlait de nouveau. Dan fit son entrée à son tour, Stella se rua sur lui en l'embrassant langoureusement, je détournai le regard, à mi chemin entre le dégout et le malaise. Nous étions en mars et leur relation était désormais officiel : Daniel sortait avec Stella.
Etrangement cela produisit quelque chose au fond de moi. Les voir ensemble me nouait toujours l'estomac. Je les regardais souvent de loin, ou bien je faisais potiche à être à côté d'eux qui se bécotaient. Je pincais les lèvres et ne disait rien. Je ne voulais même pas réfléchir au pourquoi de la chose. Ils étaient ensemble, un point c'est tout. Et pourtant.. Stella était partie avec une de ses très nombreuses amies qui avait grand besoin de lui parler, je me retrouvais donc avec Dan, sur une table dehors, notre déjeuné devant nous. J'étais entrain d'avaler en silence mon yaourt, grattant le fond pour eviter le regard de Dan. Je savais parfaitement qu'il me regardait. Je lui lançai des coups d'oeils furtifs. Il sourit. "Je t'aime toujours. Je t'aimerais toujours." Je relevai la tête. Comment pouvait-il dire cela ? Il était avec ma meilleure amie Stella et.. et il m'aimait ? J'allais répliquer fortement quelque chose mais Stella fit son apparition le sourire aux lèvres, embrassant furtivement Dan avant de reprendre son déjeuné, se plaignant de son amie et de ses futils problèmes. Dan et moi nous lançâmes un regard entendu, avant que je ne retourne à mon yaourt.
L'amour, éternel source de problème, éternel embêtement. Et pourtant, nous pauvres mortels, nous ne pouvons nous empêchez de participer à une course effreinnée pour le trouver. Personnellement, je n'avais nullement besoin d'amour. Mes amis étaient là, et mes deux meilleurs amis m'avaient dégouté à vie de cela. Si vous êtes une fille, je sais très bien se que vous recherchez. Un homme qui je vis que pour vous, un homme qui chaque matin et chaque soir vous enverra un SMS langoureux. Un homme qui saura vous attendre. Un homme patient et romantique. Un homme qui sait vous faire rire et qui vous comprend. Je recherchais bien sur la même chose, cependant, je croyais -savais ?- que ce genre d'homme n'existait pas. En tout cas pas pour moi.
Etait-ce de la jalousie ? Dans ce cas je serais vraiment une egoïste. Je n'aimais pas Dan, pas par amour du moins, et pourtant je ne supportais de le voir avec d'autres filles. Je le voulais rien que pour moi mais je voulais pas répondre à ses attentes. Alors bien sur, je tus mes sentiments, s'étaient mieux ainsi.
Contrairement à mes croyances -les révélations de Dan à la cafétéria y étaient pour beaucoup- le couples de mes deux meilleurs amis dura. D'ailleurs il dura toute l'année. J'avais fais une année scolaire acceptable, bien que moins concentrée sur mon travail que l'année précédente. J'avais tout de même décroché mon examen avec mention et je n'étais pas peu fière de moi. Le père de Dan me paya comme promis l'inscription au lycée chic où ma soeur avait fait ses études et où ma mère désirait que j'aille. Malheureusement -ou heureusement?- Stella elle, n'allait pas dans le même que moi et Dan. Ceci me fit de la peine, Stella était l'une de mes seules amis, bien que Dan était toujours avec moi, ne plus l'avoir avec moi me ferait sans doute bizarre et vide. Et pourtant j'étais bien moins triste que je ne l'aurais crus. Quelle fausse amie que faisais ! Si Stella était effondrée, Dan ne l'étais pas plus que cela. D'ailleurs il n'y avait pas vraiment de quoi, elle allait venir nous voir chaque week-end et tout son temps libre. Plus Dan que moi j'en était consciente..
Les vacances d'été se passèrent très bien. Ma mère fut plus que jamais avec son cher ami Stan, mon père monta en grade dans son usine, et je passai de super moments avec mes amis. Si je n'avais pas surpris ma mère Daytona embrasser avidement ce cher Stan, mes vacances auraient été parfaite. Je décidai de n'en faire part à personne, de ma très choquante découverte. Ma mère ne m'avait même pas remarquée, je décidai d'oublier et de me dire que c'était un "incident de parcours" ou bien un "coup de poignard dans le contrat" mais pas plus.
Le lycée m'intimidait. Je n'étais pas prête, la veille de la rentrée j'étais très stressée. Et pourtant, il ne fallait pas. Mais comment aurai-je pu deviner que j'allais rencontrer ma moitié dans ce lycée ?

Chapter two : By a glance
* Alice J. Droban * Iconleightonmeesterste3

* Alice J. Droban * Iconleightonmeesterste3

J'étais désormais au lycée.
Je m'intéressai beaucoup trop à mes cours. Beaucoup trop pour que cela paraisse naturel. Bien sur, la perspective de me retrouver avec Dan alors que Stella n'était pas là pour nous voir m'effrayait. J'avais peur qu'il ne fasse quelque chose qui entrainerait une trahison de ma meilleure amie. Stella prennait tout les soir des nouvelles de son doux, si bien que cela commença à l'énervé. Je crus même qu'il allait mettre fin à sa relation, ce qui m'effraya. Durant un ou deux mois, je me sentis seule au monde avec pour seul vivant autour de moi : Danny. Nous étions de véritable siamois, toujours fourré ensemble. Les autres personnes nous étaient complètement indifférente, bien sur je m'entendais bien avec d'autres filles et garçons, mais rien n'égalait Dan qui pour moi était jusqu'à se jour le seul qui comptait véritablement. Petit à petit je me mis à envier Stella, elle avait tellement de chance d'avoir un petit ami si gentil, qui avait toute les qualité de mon type de petit ami idéal. Je me mis à rêvasser, à songer que j'aurais pu être à la place de Stella.
Nous étions près des vacances de Noël, il faisait désormais bien froid et j'avais ressortit mes pulls. Inutile de songer à manger sur des tables dehors avec Dan, il fallait rejoindre l'intérieur de la cafétéria et la grande salle à manger. Nous nous installâmes à une table complètement vide se qui m'étonna d'en trouver encore une où personne ne s'était installé. Nous mangâmes en silence ce jour là, j'étais totalement ailleurs. Je sais pertinemment que je n'aurais pas du mais je ne pus m'empêcher de questionné Danny. "Tu m'aimes encore Dan ?" J'étais très occupée à emplucher une orange, du moins s'était le prétexte pour ne pas le regarder. Je sentais son regard stupéfait. Cependant, il me répondit très simplement "Bien sur.. mais pourquoi sa ?" Je pensais à Stella. Je n'avais pas le droit de lui faire ça. Non je devais immédiatement stopper cela. Dieu du m'entendre car je n'eu rien besoin de dire, il m'envoya quelqu'un pour nous interrompre...
Elle me faisait beaucoup penser à Stella. Grande, mince, blonde.. Mais son air imposant et hautain les différenciait. Bien sur d'une beauté suréaliste : peau pâle, visage parfaitement proportionné. Une incarnation nouvelle de la perfection je ne lui trouvai aucun défaut, ce qui m'amena à dire qu'elle en avait un : elle était trop parfaite et cela ne faisait pas du tout naturel. Elle nous regardait comme nous avions fait un meurtre. Tenant un plateau, bien droite, derrière elle toute une ribanbelle de canon de la beauté, ainsi que deux trois musclors et quelques riches habillés avec les plus chers vêtements du monde, l'air sérieux et provocant. Dan et moi nous sentâmes tout de suite que nous avions fait quelque chose de mal, de très mal. Si Dan était plus qu'intimidé par cette bande qui était sans doute la plus cool du lycée, moi j'essayai de les ignorer, reprenant l'épluchure de mon orange. La beauté parfaite entrouvrit la bouche en lançant un "Wahou" dédaigneux, les autres rièrent. Je relevai les tête pour la regarder avec autant de mépris qu'elle. Je détestai cette bande il faut dire. Du moins ce genre de bande.
"- Tu veux quelque chose ?" Dis-je en haussant un sourcil.
"- Un peu ouais, t'es à notre table petite."
Cette fille était en deuxième année. Voila pourquoi elle se permettait de m'appeler ainsi. Dan se leva tout de suite, je le foudroyai du regard pour abandonné si facilement, mes yeux assassins durent le convaincre car il se rassit immédiatement sous les rires de quelques uns.
"- Il y a ton nom de graver dessus ?" Dis-je avec toute la méchansté que je pouvais avoir.
La beauté suprème ouvrit grand les yeux et la bouche, je devinai que peu de monde devaient leur tenir tête pour qu'il soit étonné qu'une première année le fasse si aisément. Je gardais toujours mon air dédaigneux.
"- Ecoute ma p'tite, personne apart nous ne c'est assit à cette table." Dit-elle d'un air exédé.
"- Et bah y a une première fois à tout... ma grande."
J'admet que mon sourcil arqué d'un air moqueur était un peu de trop, que j'aurais peut-être du écouter les regards supliants de Danny pour qu'on parte, je n'aurais peut-être pas du ajouter le "ma grande" à la fin. Cependant, je ne pouvais pas prévoir la suite, et tout compte fait je suis plutôt contente de moi. La belle blonde me pris violemment par le bras pour le lever. Je rispostai violemment, envoyant promener sa main. Elle me posa et je manquai de tomber en arrière, heureusement je me retins à la table. Les insultes fusaient des deux côtés malgrés les suppliques de Dan d'abandonner. Une bagarre était toute proche. Ok, à côté d'elle je faisais vraiment frèle et tache,elle me surplombait d'au moins dix centimètres, mais mon air menaçant ne trompait pas : j'étais énervée. J'étais surement la seule qui ai osé me mesurer à la grande et très populaire beauté parfaite. Et alors que nous nous criions deçut, une voix nous arrêta. "Maureen c'est bon, c'est pas la peine." La blonde me lacha aussitôt. Je contiuai à la regarder avec fureur en grognant presque. Cependant, la voix m'avait aussi arrêté, étrangement je ne pus lui désobéïr et je me reculai. Cette voix était si voluptueuse, les accents sévères de se délicieux ténor m'enveloppaient. Cette voix ne venait pas du groupe d'ami derrière la dénommée Maureen, elle venait de derrière moi j'entendis un plateau se posé sur la table dans mon dos, je me retournai en un sursaut. Et je le vis.
Je faillis défaillir tant sa beauté était supérieur à tout se qui m'était donné de voir dans ma vie. Il n'était pas beaucoup plus grand que moi, entre cinq et dix centimètres tout au plus, ses cheveux aile de corbeau mis sur le côté, sa peau d'un blanc craie qui semblait si douce, si poudreuse. Ses magnifiques yeux en amandes sombres surlignée par deux sourcils charnus qui formaient deux lignes droites et sévères, légèrement froncés faisant apparaitre de magnifiques petites rides. L'arrête droite de son nez sublimemet proportionné. Sa bouche ni trop pleine ni trop fine, pincée. Il était mince et ne ressemblait pas du tout à tout ces sportifs gonflés comme des ballons, il était presque frèle mais inspirait un respect et une fascination. En tout cas moi, il me fascinait. Je ne sais pas vraiment quelle expression j'affichais, mais j'étais immobile à contempler ce dieu vivant. Car oui c'était un dieu, aucune autres explications ne pouvaient convenir. Les yeux grands ouverts brillaient presque de sa magnificence. Je volai. J'étais ailleurs, l'idiote de Maureen n'existait plus, je ne me souvenais même plus de Danny qui attendait sans doute que je sorte de ma transe. Nous nous regardâmes un bon moment, avant que Maureen ne me secoue en m'ordonnant de partir. Je clignai plusieurs fois des yeux avant de tourner la tête et de bafouiller "Je.. je finirais mon orange de.. dehors" Je ne quittai pas des yeux le dieu vivant. Fascinée par sa splendeur sans limite.
Je sortis donc en compagnie de Dan qui me regardait étrangement, mais j'en avais strictement rien à faire. Rien n'avait désormais plus d'importance que LUI. Rien ne comptait à part LUI. Dans mon esprit il n'y avait plus que LUI. IL était le seul à hanter mes songes, ses accents résonnaient encore en moi. Son regard, ses sourcils, ses traits. J'avais imprimé très nettement ses moindres contour dans mon esprit. Je ne voyais même pas se qui était devant moi, j'avais posté devant mes yeux la photographie visuel que j'avais faite de cet ange. J'avais trop peur d'oublier son visage si je me déconcentrait une seconde.

"Alice non ! S'il te plait ! Tout le monde sauf Edward Masen !" Edward ? Bon dieu s'était mon nouveau prénom préféré. Masen ? Quel joli nom ! Edward Masen sonnait si bien. Si doux, voluptueux. Quelques flocons de neiges tombaient ce jour là. Mais je ne sentais plus le froid, alors que Daniel grelottait presque à côté de moi -je ne l'avais même pas remarqué- j'étais planté devant la sortie de la cafétéria, mon orange dans un main. Du moins mon corps était là, mon esprit était ailleurs, près d'Edward Masen sans aucun doute. Il avait l'air si parfait.. A tout point de vue. Je me surpris à songer à des folles choses, à des espoirs stupides. Quand soudain, quelque chose de dur et de glacial vint s'écrasé sur mon front. Je sortis de mes songes et découvrit que Dan m'avait envoyé une boule neige. J'entrouvrit la bouche, faussement outrée (ne pouvant dissimuler mon rire)
"Tu es encore en vie ? J'avais crus que t'étais entrain d'avoir un flas annonçant la fin du monde !" Ria Daniel.
Je souris avant de déclarer d'une voix absente et rêveuse :
"Si je m'évanouis tu crois qu'Edward Masen viendra me ré-animer ?"
"Sa m'étonnerai beaucoup !" Me répondit Danny avec un sourire un peu plus pincé.
"Boef... je suis encore en vie alors"
J'avais croisé un ange, l'homme de ma vie j'en était persuadée. Il occupait désormais toute la place dans mon esprit, comment avais-je pu penser que Dan et moi pourrions être bien ensemble ? Il ne représentait plus qu'un ami pour moi et je bénissais le ciel de m'avoir envoyé mon sauveur, mon ange à moi, mon dieu. D'ailleurs, s'était mieux ainsi, comme ça j'évitais de faire souffrir ma meilleure amie, mon meilleur ami restait avec elle et moi je fantasmais sur le garçon le plus populaire du lycée. Qui sortait avec la fille la plus populaire du lycée... Je me renfrognai à cette idée. Oui, Edward j'en avais entendu parler, il sortait avec cette Maureen il m'était déjà donné de les apercevoir, sauf que je ne m'étais pas rendu compte de sa beauté cruelle. A tout les deux d'ailleurs. Pourquoi les jolies blondes avaient toujours les garçons parfaits ? C'était trop injuste. Moi et mes cheveux brun ondulé et mes petit un mètre soixante et quelques je n'allais pas bien loin. Je n'étais jamais réellement sortit avec un garçon. J'avais eu des petits flirt, et puis Dan m'avait embrassé aussi.. Mais rien de très.. officiel. Et d'ailleurs je me réservais à Edward Masen, il ne le savait pas encore mais j'allais tout faire pour l'obtenir. Quoi qu'il en coute.
Quelques semaines avaient passé depuis que j'avais rencontré mon ange. Mes grandes promesses comme quoi j'allais obtenir Edward étaient.. stupides étant donné que je ne lui avais pas adressé une fois la parole. Si Dan m'encourageait tout les jours à décroché de ce stupide garçon -d'après lui- je n'en voyais vraiment pas la raison. Il était si parfait. Dan me répétait sans cesse qu'il était méchant, qu'il ne pensait qu'à sa petite personne et sa réputation. Mais j'avais tellement envie de croire le contraire. J'étais persuadée qu'en dessus des apparences, il avait un grand coeur. J'étais persuadé de pouvoir le faire changé. Si seulement j'osais lui parler. Au lieu de ça je le fixai. Dès qu'il était dans mon champ de vision je le regardais. J'observais sa magnificence et parfois, il me regardait à son tour, nous nous fixions jusqu'à se que quelqu'un nous dérange. Il lui arrivait de sourire, de me parler à travers son regard sombre. Je découvris que nous pouvions en dire long par un seul regard, et sans nous adresser un mot de toute l'année nous nous en disions beaucoup, à distance, simplement en se regardant. La douce brise de printemps, puis l'air chaud de l'été.. l'année touchait à sa fin.

Chapter three : the melody of your voice

* Alice J. Droban * Iconleightonmeesteres8

Le grincement se fit une nouvelle fois entendre. Alors que je me balançais légèrement sur la balançoire du parc des quartiers riches de New-York, les cables de fers contre le dessus du portique produisaient un bruit fou et à faire froid dans le dos. Le soir était tombé depuis bien longtemps. J'étais complètement seule et si je frissonnais je devinais que le froid n'y était pas pour beaucoup. Certes un mistral soufflait et me claquait au visage, me faisant presque grelotter. Je m'entourai de mes bras pour me réchauffer, mes cheveux ondulé me recouvrant mon dos. J'étais en débardeur et jean, ayant oublié ma précieuse veste en éponge chez Dan. Je refusais d'y retourner. Nous nous étions quelques peu disputer et il avait filé dans sa chambre avec sa chère Stella. Et bien que le soir tombait j'avais affronté la nuit et m'était retiré. Il était seul chez lui avec sa si belle petite amie, il ne retournerait sans doute pas me chercher, même si j'étais sensée dormir chez lui ce soir. Mais bon, j'attendais donc depuis une bonne demi-heure dans le froid, à me balancer dans un parc vide. Tout les films d'horreur que j'avais pu regarder dans ma vie me revinrent en mémoire. Je frissonnai à nouveau.
"Ainsi donc la belle demoiselle est frigorifiée et a besoin d'une veste. Je parirais qu'elle veut la mienne."
Je poussai un cris d'horreur, me levant tout de suite de la balançoire, me retournai pour regarder qui m'avait parlé. Je me sentis incroyablement bête lorsque je découvris Edward Masen, riant, planté derrière ma balançoire, sa veste de costume tendu vers moi. Je lui souris, m'approchant prudemment de lui et prennant sa veste pour me la mettre sur les épaules. Il est vrai que j'allais déjà mieux. Rien que de contempler sa parfaite beauté me revigorait il faut dire. Bine que j'avais passé toute l'année dernière à l'observer, qu'il m'avait parfois répondu du regard, jamais je n'avais entendu le son de sa voix hormis une fois, le jour de la dispute entre moi et sa précieuse petite amie Maureen. D'ailleurs je me souvenais de cette phrase comme si elle venait de m'être dites. Mais ce qu'il venait de me dire devenait ma nouvelle phrase préféré. Il paraissait simplement en parlant tellement intelligent, tellement intéressant. "Redescent sur Terre Alice Juliet Droban, Edward Chuck Masen doit vraiment se sentir seul pour être venu te voir et te parler à TOI petite pauvre parmis les riches!" Pensai-je. Et pourtant je pris la veste qu'il me tendait, la mis sur mes épaules et lui souris. "Il y a une raison particulière pour que Edward Masen m'adresse la parole ?" ça avait été plus fort que moi, je devais savoir. Il me sourit simplement, oubliant de me répondre. Je ne poussai pas le bouchon. Je me rassis sur la balançoire et je sentis quelques chose dans le bas de mon dos. Je sursautai. Lorsque je regardai derrière moi, Edward était là, à me pousser comme on pousse un enfant, il souriant avec son air candide, tel innocent à qui ont aurait donné le bon dieu sans confession. "Non, pas vraiment" Il me sourit. Nous discutâmes durant une heure ou deux, j'appris à le connaitre, j'appris à faire la part des choses entre Edward le populaire très attaché à son image et le Edward sympatique qui pouvait parler librement avec moi. Je décrêtai finalement que j'avais assez fait attendre mon meilleur ami et qu'il était grand temps pour moi de rentrer à la maison. Edward me salua poliment, nous nous observâmes, avant que je ne le quitte par... un coucou de la main. Lamentable !
Il m'avait laisser garder sa veste et m'avait demander de la lui remettre d'une manière ou d'une autre le lendemain. Cela faisait cinq bonne minute que je marchais vaguement en direction de la demeure de mon meilleur ami, lorsque soudain, un racclement de gorge m'interpella, je tournai la tête et tombai sur.. Danny. Bon, j'aurais préféré que se soit mon ange qui me rattrape, mais c'était déjà pas mal. Il me raconta qu'il était là depuis une heure mais qu'il n'avait pas osé nous déranger. "Merci" lui chuchotai-je. "Si tu crois que tu vas t'en tirer comme ça ! Alice Juliet Droban, je te supplis de ne plus approcher ce pauvre type !" Je le foudroyai du regard, notre dispute avait déjà porter sur ce sujet. Je pressai le pas. Il levai les yeux au ciel et me rattrapa, en s'excusant. Nous repartimes tout les deux, et tout s'arrangea. J'étais sur un petit nuage. Si bien que je me laissai aller et rêve une nouvelle fois de mon ange, sauf que cette fois ci, il ne fisait pas que me remarquer (puisqu'il l'avait déjà fait =D) il m'embrassait. Ooh se fut le plus beau rêve de ma vie.
Ma vie repris son cour, le lendemain je déposai sa veste sur la balançoire que j'avais occupé la veille, sans le voir. Je sus seulement que lorsque j'y retournai deux heures plus tard, il était déjà revenu la chercher. Mes vacances se terminèrent sans embrouille, et la rentrée s'annonça. J'étais en deuxième année dans le lycée privée que les parents de Dan m'avaient payé. Ce fut une année.. mouvementée. Alors que mon bel Edward était en troisième année, depuis le parc tout avait changé. Le matin il venait me voir, me disait bonjour, me demandait comment j'allais. Lorsqu'il me crosait il me faisait des signes pour bien s'arrêtait pour me parler cinq minutes avant de filer rejoindre son imbécile de Maureen. Toute les nuits je rêvais de lui, et chaque seconde de ma vie résonnait en moi la phrase qu'il m'avait dite au parc. Son parfum m'avait ensorcellée, j'étais à sa merci, j'étais son esclave il aurait pu faire de moi tout ce qu'il désirait tant je l'aimais. A chaque fois que je le voyais ou que je lui parlais mon sang bouillonnait, mon coeur cognait contre ma poitrine, mes joues passaient au rouge sans passer par le rose, mes membres flageollaient, quelques gouttes de sueurs roulaient sur mon front et le long de mon dos. J'étais réellement omnibilée par lui. Il était ma raison de vivre, tout simplement. Si ce comportement faisait, cela dépendait des jours, mourir de rire ou bien plongeait dans une fureur noir, mon ami Danny, sa Stella chérie m'exaspérait également de plus en plus. Bien qu'elle était 'censée" être ma meilleure amie je supportais de moins en moins de la voir. Sa,s que je ne sache réllement pourquoi, lorsque je la voyais avec mon Danny mes muscles se crispaient, mon coeur se serrait et ma gorge se nouait. Seulemen je refusais de croire que j'étais jalouse. Enfin peut-être.. mais en tout cas pas parce que j'étais amoureuse de Dan. Après tout je savais que c'était MOI qu'il aimait. Mais Stella, Maureen, elles étaient pareille pour moi. Toutes les deux d'une beauté époustoufflante, toutes les deux grandes et blondes et toutes les deux en couples depuis pas mal d'années. Alors que moi, la seule fois où j'avais réellement embrassé un garçon c'était quand mon meilleur ami m'avait fait sa folle déclaration, au collège, ou dans ces fameux jeu de la bouteille, dont le principe me dégoutait plus qu'autre chose. Je n'avais jamais REELLEMENT eu de petit ami. Et l'amour d'un homme me manquait. Non enfaite, c'est l'amour d'Edward Masen qui me manquait.
Cette année là, mes parents j'arrêtaient pas de ce disputer. Je devinais le pourquoi du comment. Nate, mon père, avait du découvrir que ma mère avait une liaison avec le père de Daniel. Mais bien que leurs cris me faisaient de plus en plus mal à la tête, je savais pertinemment que mes parents ne se sépareraient jamais. Ils en avaient vécut les choses ensemble, et même une liaison de ma mère ne suffirait pas à faire fuir mon père. Il l'aimait trop pour cela. Il l'aimait trop pour imaginer me prendre sous le bras et s'en aller loin. Car il était évident que je vivrais avec mon père si mes parents venaient à divorcer. Lui seul m'aimait assez pour m'imposer un minimum de limites. Ma mère si fichait éperdument de moi. Par contre, elle portait toute son attention sur ma soeur Michelle. D'ailleurs cette dernière réussissait parfaitement bien ces études.Elle avait intégré Stanford, et étudiait la médecine. Comme si elle n'était pas assez brillante comme cela,elle voulait être une grande chirurgienne. Pour tout vous dire, l'ambiance de la maison plombait mon moral. Bien que je savais que mes parents ne se quitteraient pas, il y avait des jours où je l'espéraient fortement pour ne plus avoir à supporter leurs crises.
Et un beau jour.
"Alice, tu n'as pas l'air bien sa va ?"
Je me retournai immédiatement au son mélodieux de cette voix si parfaite. Là, derrière moi, se tenait bien droit Edward Masen, les mains dans ses poches, qui me regardait, ses sourcils froncés dans un air soucieux. Soucieux ? Alors Edward Masen se faisait du SOUCIS pour moi ? J'écarquillai les yeux. Comment était-ce possible ? Etait-ce encore un de mes rêves ? Ne parlait-il pas à une autre Alice à côté de moi ? Je l'observais, les yeux brillants. Et je tins.. deux seconde à observer sa beauté suprème. Puis, je fondis en larmes et m'effondrai dans ses bras. Contre toute attente il ne me repoussa pas violement, il porta sa main si parfaite sur ma chevelure et dans un geste de reconfort, me serra contre lui en caressant mes cheveux. J'avais l'impression d'être dans les cieux. C'était un cadeau tombé du ciel, ce garçon était un ange, un envoyé de dieu. Je me sentis soudain tellement légère. Mais qui était-il pour être si gentil avec moi ? Et pourquoi surtout ? Seulement, à ce moment de ma vie, je n'avais aucune envie de me poser des questions. J'étais simplement bien. J'avais vraiment l'impression d'avoir atteint le point le plus haut de bonheur qu'on puisse atteindre un jour. Plus rien n'existait. Plus rien ne comptait. Sauf lui, son parfum, sa voix, sa main...
La fin d'année était toute proche. Bientôt, il faudrait trouvé son cavalier pour le bal de promo. Si le choix d'Edward était une évidence absolue : Maureen, le mien également. Edward pris, je n'avais plus que mon bon vieu Daniel. D'ailleurs, nous nous faisions une joie d'assister ensemble à ce bal !

Chapter four : A Kiss
* Alice J. Droban * Gifedwardalicefi6

Le bal de promo. Dans les écoles privées des quartiers chics de New-York, cela se déroule toujours pareil. Les jeunes hommes sont tous dans de sompteux costumes sombres et très classes et invite la fille de leur rêve, celle qui deviendra sans doute leur fiancée étant donné qu'un accd d'affaire entre les parents s'est déjà scellé. Les filles sont toutes minces, belles et portent de magnifiques robes pailletées et élégantes. Elles ont des coiffures couper le souffle et sont maquillée juste comme il faut. Sac à main, chaussure et colier assortis à la robe, rien n'est jamais laissé au hasard.
Quant à moi, bien sûr j'étais moins belle que toutes ces autres filles, mais j'avais tout de même cassé ma tirelire en forme de cochon rose pour m'acheter une très belle robe de couturier plutôt connu. En soie dorée, elle me moulait jusqu'aux hanches avant de partir en virvoltant jusqu'au sol. J'avais aussi trouvé des chaussures couleur or assorties, ainsi que plusieurs bijoux sympa et un sac à main. Pour la coiffure j'avasi fait simple, je m'étais fait des boucles effet marquises, et maquillé comme ma soeur Michelle m'avait toujours enseigné à le faire. Dan, en vrai gentleman vint me chercher pile à l'heure en limousine. Si la perspective d'y aller avec lui n'était pas mon rêve le plus fou, j'étais tout de même contente, je savais qu'il m'aiderai à surmonter l'épreuve de voirMaureen et Edward ensemble... Danny était très beau dans son costume flambant neuf, vraiment. Je l'observais d'un oeil intéressé, un maigre sourire aux lèvres. Il m'offrit son bras, que je pris et nous nous dirigeâmes vers la salle du bal en limousine. Il n'arrêta pas de me dévisager en souriant lui aussi, j'essayai d'éviter son regard, j'avais une idée de comment allait finir cette soirée.. une vague idée. Sauf que j'évitais d'y penser. Stella était toujours la petite amie de Dan, toujours et cela durait depuis presque quatre ans. Même si je savais qu'il m'aimait, je ne pouvais rien faire, j'étais coincée. Pourquoi diable tout les hommes qui étaient apte à me servir de petit ami était.. pris ?!
Le chauffeur nous ouvrit la porte, je sortis suivit de Dan et m'accrochai tout de suite à son bras, tendue. Cette soirée était bien sur attendue de tous, même de moi. Et j'avais le présentiment qu'elle allait bien mal finir. En geste désespéré de réconfort, Dan m'embrassa sur la joue, enfin plus au coin des lèvres, je lui souris très faiblement, les grandes doubles portes s'ouvrirent, nous entrâmes.
C'était magnifique. Je ne sais pas qui avait décoré mais cela était très bien fait. Ma bouche s'entre-ouvrit machinalement, mes yeux grand ouvert observait ce décor de rêve. Beaucoup de monde étaient déjà à l'intérieur, dansaient quelques uns courageux, mais la plupart siègeaient au milieux en discutant, verre de ponch à la main. Dan, me tennant par la main, m'emmène près d'un des canapés, me proposant à boire, je refuse d'un signe de tête. Je n'aimais pas boire, d'ailleurs je ne le faisais jamais. Un ou deux verres de champagne à Noël, ou bien aux anniversaire. Une bierre lorsque je trainais sur les circuits de course du père de Danny avec tous les pilotes, un verre de vin lorsque mes grand-parents me le proposait.. enfin bref, je ne buvais que rarement, et ce n'est certainement dès que j'arrive à ce bal que j'allais commencer. Dan haussa les épaules, disant que lui il allait se servir un peu de ponch. Lorsque je me retrouvai seule sur le canapé, je jettai un coup d'oeil circulaire, détaillant les tenus de tous les élèves. Et là... Comment avais-je fais pour ne pas le remarquer plus tôt. C'était le plus beau. J'en eu réellement le souffle coupé. Je portai une main à ma poitrine, reprennant peu à peu mon souffle. Edward Masen, dans un magnifique costume sombre qui faisait contraste avec sa peau claire. Je ne pouvais le quitter du regard. Cette si belle créature attendait seule aussi. Il me remarqua, me sourit. Je faillis m'évanouir. J'allais me lever, réellement, je voulais le rejoindre et l'embrasser, là devant tout le monde. Mais c'est lorsque je m'apprêtais à le faire que cette grande cruche blonde de Maureen fit son apparition. Evidement dix mille fois plus belle que moi dans une robe dorée, vaporeuse. Elle se colla littéralement contre mon ange et l'embrassa avidement, on aurait dit qu'elle lui dévorait le visage. Je restai là, debout devant le canapé rouge, figée. J'observais Maureen et Edward s'embrasser. Une larme. Elle coula cette traitresse, le long de ma joue gauche. Je serrai les dents, avalai ma salive. Je repensais à ma troisième, lorsque Danny m'avait embrassé et au visage de Stella, entrain de verser quelques larmes non loin. Je devais sans doute avoir la même expression. Mais enfin à quoi je m'attendais ? A se qu'il la repousse et cour dans mes bras ? J'étais stupide ! Réellement. Edward Masen ne m'aimait pas et ne m'aimerait jamais. C'était une fatalité, une évidence absolue.
"Hey ! Alice qu'est ce qui se passe ? Alice ?"
Danny pouvait bien parler, je ne l'entendais que trs lointainement, sa voix était un bourdonnement rauque dans mes oreilles. Je n'entendais rien. Je ne voyais qu'une chose : Edward et Maureen. Dan m'enlça par derrière, embrassant mon coup pour tenter de me consoler. Ne comprennait-il pas que je n'aimais qu'Edward ? Je ne tentai pas de me détacher de son étreinte, non, je me fichais éperdument de lui. Il suivit mon regard, leva les yeux au ciel. Je crus l'entendre grogner.
"Arrête un peu avec lui tu veux ? Profite de la vie ! Trouve toi quelqu'un d'autre !
- Tu parles encore de toi là ? Rétorquai-je, la voix tremblante bien que cassante.
- Trouve toi qui tu veux mais arrête de fantasmer sur ce pauvre type ! Il en a rien à faire de toi !"
Dan criait presque. Je me retournai immédiatement et le gifflai. Il m'observa un instant, les larmes aux yeux. Qu'est ce que j'avais fait ? Je n'avais jamais vu Daniel pleurer, et... et c'était de ma faute ? Je me détestais. Il partie en faisant des grands pas. J'étais un monstre, un monstre que personne n'aimait, et que personne ne regretterais. Je dérivais soudainement jusqu'à la buvette et pris deux verres que j'avalai cul-sec. Puis un autre, puis un autre.. et encore un autre.. encore un.. Puis encore.. encore et un autre... Je ne sais plus du tout le nombre exact de verre d'alcool que je bus ce soir là, mais il arriva un moment, où je n'étais même plus capable de tenir un verre. Je relevai la tête, je ne voyais plus rien. Tout tournait, un bruit trop fort, brouillé, me parvenait aux oreilles. Ça tanguait. Je m'accrochai à une table temps qu'il y en avait une, puis à un élève que je quittais juste après. Il fallait que je sorte, je n'allais pas bien. J'avais des nausées, j'étais comme sur un bateau qui vacillait au rytme des vagues. Tout le monde riaient, chantaient, dansaient autour de moi. Je ne comprennais plus rien. D'un geste maladroit j'enlevais mes chaussures à talons et me trainai vers la sortie. Mais elle me parraissait si loin. Il était évident que je n'y arriverais jamais. Je m'emmêlai finalement dans mes jambes, j'attendais le moment où je me fracasserais le menton sur le carrelage. Mais ce moment ne vint pas. Quelqu'un me rattrapa. Dan par toute évidence. Qui d'autre ? Ce quelqu'un mit mon bras autour de son épaule pour r que j'y prenne appuis et ainsi m'ammene jusqu'à la sortie. "Tu as beaucoup trop bu Alice" les accents sévères résonnèrent en moi. Ce n'était pas Daniel. C'était Edward.
Comment étais-je arrivée là ? A me trainer appuyée contre un dieu vivant, avançant dehors, en direction de sa limousine noire. Je n'en sais rien; Mais même si je n'étais vraiment pas bien, que j'avais mal à la tête et que tout tournait autour de moi, je ne pouvais être malheureuse. J'étais dans le sbras de l'homme de mes rêves ! Peut-être que ce bal de fin d'année n'allait pas être si nul que cela... Quelqu'un nous ouvrit la portière de la limousine, et Edward m'assit à l'intérieur. Je m'attendais bien sur à se qu'il ne ferme la porte et qu'il demande à se que l'on m'expédie chez moi. Mais non il monta à son tour, à mes côtés. Il dit quelques mots au chauffeur, qui démarra la voiture. Je tournai la tête en sa direction. Lui dans la mienne. Nous nous regardâmes un moment. Avant que je n'approche doucement mon visage du sien. C'était sans doute l'effet de l'alcool qui m'avait donné un tel cran, quoi qu'il en soit il ne me repoussa pas. Doucement, mes lèvres effleurèrent les siens. Douce, chaude, agréable. Rapidement, je m'approchai d'avantage, faisant courir ma main le loin de sa chemise blanche, main qu'il attrapa. De son autre main il prit ma joue, je pris la sienne. Nos lèvres se rapprochèrent d'avantage, puis s'entrouvrirent. Nous entamâmes un long et passionné baiser. De la première de mesmains je continuai mon chemin jusqu'à sa nuque et basculai presque entièrement sur lui, me relevant pour être exactement à sa hauteur, toujours en l'embrassant. Sa main den ouveau libre parcourut mon dos, me faisant frissonner toute entière. J'étais dans une autre galaxie, plus rien n'existait. La Terre, les êtres humains. Non plus que cette limousine, Edward Masen et moi. Je ne croyais pas se qu'il était entrain de se produire. Comment était-ce possible ? En moi une sensation de chaleur m'enveloppa, de douceur. Comme si quelque chose de très important et de très agréable allait se produire, dans un futur très proche. Edward chercha un instant ma fermeture éclair dans le dos, dès qu'il l'eu trouvé il entreprit de la baisser. Bien que mon esprit était embrumé par l'alcool je comprennais la situation. Bien que je n'avais aucune envie d'interrompre ce moment de pure magie. Mais je voulais.. être sûre. Sûre de ne pas me faire prendre pour une idiote, une fois encore, sûre que je n'étais pas en pleine hallucination. Je reculai légèrement ma tête, mais il rapprocha la sienne pour rencontrer à nouveau mes lèvres. J'étais incapable de me décoller de lui, envoutée, pliée à ses moindres désirs. J'étais impuissante face à ce dieu. J'essayai de l'arrêter avec ma main, il était bien sur plus fort et ne semblait pas se rendre compte de ce que je voulais faire. Peut-être prennait-il cela pour de la passion car il déboutonna d'une main très rapidement quelques boutons de sa chemise. Impossible de ne pas saisir cette perche, je caressai avec passion son torse que j'avais rêvé d'efflorer une centaine, peut-être un milier de fois. Cependant, je me fis plus sévère, je le repoussai avec un peu plus de conviction. Il comprit enfin. Interrompu dans son élan il déclara avec un ton relativement de mauvaise humeur, mais son lointain son essouflé réusssissait à me faire fondre : "Quoi ?" Je le regardais droit dans les yeux, rapidement, je jettai un coup d'oeil par la fenêtre pour voir où nous nous trouvions. Une ou deux rues du loft de Dan, je n'aurais aucun mal à rentrer, du moins je pensais, si les choses tournaient mals. Je plongeai donc mon regard dans le sien, il était si.. si beau. Si envoutant.. je m'insultais intérieurement d'avoir arrêté cette créature divine dans son élan. Cependant, je ne pus m'empêcher de déclarer, certaines de la vérité de mes paroles : "Edward Masen, si tu es avec moi c'est ta réputation que tu perds. Il faut faire un choix. Moi.. ou ta réputation" Cette phrase le perturba. Je vous assure, il sembla.. réfléchir. Il m'observait, visiblement déçut d'avoir été coupé pour cela. Et pourtant. pourtant oui il prononça quelques mots. Ces quelques mots qui conditionnèrent toute ma vie. Qui scellèrent mon destin. Pour le meilleur, ou pour le pire. Et je peux vous dire que le pire était au rendez vous. "Ma réputation" Ces deux mots tranchant. Ils claquèrent comme un fouet sur mon visage. Et je vis ma vie s'écrouler. Tout s'écroulait, tous mes espoirs, tous mes sentiments. Rien n'avait plus de sens. Je sentais une lame froide transpercer sans état d'âme ma poitrine, mon coeur. J'écarquillai furtivement les yeux, entrouvrant la bouche. Edward ne me quittait pas du regard. Ma vie n'avait plus de sens. Mon ange, mon dieu, mon idole, mon rêve... Ma raison de vivre me tuait.
Je détournai la tête, toujours la bouche entrouverte, et attrapa la poignet de la porte. Edward cria au chauffeur de s'arrêter, avant que je ne saute en marche. Celui ci donna un grand coup de freint et je sortie aussitôt. Je ne sais pas si il essaya de me rappeler, je crus entendre un bourdonnement en arrière plan. Qu'était à deux pas du loft de Dan. Son immeuble était dans la rue où nous étions. D'ailleurs, je distinguai sa silhouette à sa fenetre. Je me trainais dans le hall de l'immeuble, hoquetant, essayant de toute mes forces de n'emettre aucune émotion. Je grimpai l'escalier en m'aggripant à la rampe pour ne pas tomber à la renverse. Devant la porte, je l'ouvris. La voix qui semblait toujours en rogne de Daniel me parvint vaguement aux oreilles "J'ai vu la limousine de ce cher Edward qui s'arrêtait un peu avant chez m..." Danny s'était retourné, et m'observait, horrifié. Je faisais donc si peur que cela ? Car il avait les yeux et la bouche grand ouverts. La colère tirant ses traits et serrant ses poings. Il faut dire que j'avais les cheveux en batailles, les yeux rouges, le nez également, je ne marchais pas droit, ma vision était trouble, je ne tenais pas droite, j'étais pied nue, une chaussure à la main, l'autre je ne sais plus où je l'avais semé, ma robe était mal mise. "Qu'est ce qu'il t'a fait ?" Siffla Dan entre ses dents. Je chancelai jusqu'à lui et lui tombai dans les bras. Il me serra contre lui, et lorsqu'il voulu me fronter le dos, il s'aperçut que ma fermeture éclair était à moitié baissée. "Ooh non ! Non non non ! Il n'a pas osé te ...." S'écria Dan, incapable de finir sa phrase tant il était en colère. Je seccouai vigoureusement la tête pour dire qu'il ne m'avait rien fait de tel. Il poussa un long soupir de soulagement, me caressant les cheveux. Il me demanda de nouveau se qui s'était passé, je lui racontai comme je pus finalement l'histoire. Je sentais ses muscles se crisper lorsque je lui narrais les évênements.
"Tu vaux tellement mieux Alice, tu mérite quelqu'un de mieux que ce pauvre type !"
Il pris mon visage entre ses mains pour m'obliger à le regarder. De mes yeux s'écoulaient de nombreuses larmes. Je pleurais à ne pas pouvoir m'arrêter. Dan me regarda intensément, embrassant mon front... Le coin de mes lèvres... puis ma bouche. Il m'embrassa avec tendresse, réconfort..Et je me laissai lamentablement faire.

{Je pense que cette fois c'est le dernier post, j'ai plus beaucoup à faire, excusez moi pour le temps, je vais essayer de finir ce soir ou demain !}

Comment pouvais-je faire une telle chose ? Daniel sortait avec ma meilleure amie, et moi.. moi j'en aimais un qui venait de me briser le coeur en des milliers de petits morceaux. Mais était-ce une raison pour me laisser faire ? Que.. que faisait-il ? Nous étions toujours entrain de nous embrasser tendrement, quand.. quan dil porta sa main à ma fermeture éclair ! Ooh non ! Repousse-le Alice ! Repousse-le ! Mais non, je ne fis rien. J'étais trop mal pour refuser un homme qui m'aimait. Pire encore, je déboutonnai sa chemise avec passion, faisant passer ma main dans ses cheveux, son dos... Nous vacillâmes dans le salon, pour avancer à l'aveuglette en direction de sa chambre, et je basculai sur le lit....

J'attrapai ma robe de chambre et l'enfilai. A côté de moi, Dan dormait profondément, son visage d'ange souriant. Je le regardais un moment, puis détournai mon regard. Je me levai et sortit de la chambre. Je m'inspectai dans le mirroir du salon. Je ne me reconnaissais plus. J'essayai de dominer mes cheveux, se qui rendit un peu mieux. Mais mon maquillage avait coulé, et je ne m'étais toujours pas lavée la figure. Je me demandai si j'avais le temps de passer à la salle de bain, mais les toquement sonore qui venait de la porte me persuadèrent que non. J'avais été réveillée par ces toquements qui se faisiaent de plus en plus fort. Dans le salon, je choutais dans ma robe de bal par terre, ainsi que le costume de Dan. Je ne réalisais toujours pas se qui s'était produit cette nuit j'avais mal à la tête, des souvenirs du mal que m'avais fait Edward, de se que.. se que j'avais fait avec mon meilleur ami, mais je n'avais pas envie de croire que c'était réellement j'avais simplement envie de croire que c'était un mauvais rêve. Ooh ne croyez pas que c'était nul avec Danny, mais.. mais c'était mon meilleur ami. Je n'arrivais toujours pas à croire que c'était avec lui.. ma première fois.

J'ouvris la porte.
Je me figeai.
Non. Impossible.
C'était un cauchemard.
Je devais me réveiller.

Edward Masen se tenait là. "J'ai été bête Alice, je me fiche de ma réputation tout se qui compte c'est..." Il se coupa, m'inspecta, ainsi que l'état du salon. Derrière moi, arriva Dan, vêtue d'un vieux jogging. Edward comprit. "Ooh je vois" Sa voix était tout de suite plus froide, glaciale même. Il me fusilla du regad, ainsi que Dan. J'entrouvris la bouche. "Non Ed, non.. ce n'est pas du tout se que.. Edward" Il avait l'air troublé, ses yeux brillaient. "Tu m'aimes c'est ça ?" Dit-il avec plein de haine. Je l'observait un instant, Dan me regarda. "Oui" dis-je. Edward leva les yeux au ciel tu style "tu parle" et partit rapidement, impossible de le rattraper. Je défaillis.

Chapter five : After you
* Alice J. Droban * Iconalicejdroban2pzo9

* Alice J. Droban * Iconalicejdroban2pzo9

* Alice J. Droban * Iconalicejdroban1pks7

Je m'écroulai par terre, Dan vint vite à ma rescousse. Bien que nous avions couché ensemble, il semblait avoir compris que le seul homme que j'aimais était Edward, et quoi qu'il en dise, je ne pourrais rien y changé. Seulement voila, Edward j'avais faillis l'avoir, et à cause de.. de cette stupide erreur je.. J'étais.. j'étais morte. Du moins la mort m'aurait parut étrangement douce comparer à l'horreur de cette situation. J'avais perdu Edward Masen, l'homme de mes rêves, c'était.. stupide non ? Il m'aimait, et moi.. je l'avasi perdu. J'éclatai en larme, consoler en silence par Dan qui me serrait contre lui. Je n'avais pas la force de le repousser une fois encore. Je n'en pouvais plus, je voulais que tout cela cesse. Une bonne fois pour toute. Et la solution m'apparut comme une évidence, comme la seule chose à faire.
Je me retirais rapidement de l'emprise de Daniel, qui me regarda d'un air interrogateur. Je ne lui répondit pas, pris quelques affaires à moi qui était chez Dan depuis des lustres, m'enfermait dans la salle de main. J'en ressortis lavée et habillée, je ne pris aucune autre affaire, je sortis de chez Dan et partit, à pied bien sur je n'avais pas de voiture. Une fois quelques rues plus loins du loft, je me mis à courir.
Je courrais plus vite que tout, plus vite que n'importe qui. Je courrais sans savoir où j'allais, tout en sachant mon but. Je ne pensais plus, je ne pleurais plus. Seule la terrible douleur qui me tenaillait le ventre me rappelait que j'étais encore en vie. Je courus, courus courus.. Je n'étais même pas essouflée, je n'avais pas le temps de me sentir essouflée. Et là, j'arrivais sur le pont, celui où j'avais toujours aimé réfugier étant petite. Avec Dan ou des amis. Avec Stella même, cette amie que soit dit en passant j'avais trahis en couchant avec son petit ami. Je me stoppai dans ma course, et regarda la rembarde en silence. Une évidence, la seule sollution. J'avais trop mal, j'avais vraiment trop mal. PLus rien n'avais d'importance, sauf cet ultime geste. Je fis glisser ma main sur la barrière en fer, il n'y avait personne, il faut dire qu'on était en plein milieu de la nuit. Je recommençai à pleurer lorsque je pris ferment la rembarde, puis passa une jambe au dessus du fleuve, puis l'autre. Je regardai le vide, essayant de calmer ma respiration saccadée et mes hoquets. Je n'y parvennais pas. Ma vie était gachée, d'ailleurs, je n'étais plus en vie.

Votre raison de vivre est aussi une excellente raison de mourir.

J'observais les remue du fleuve, le vent soufflait, les vagues s'écrasaient sur des rochers. Je m'y éclaterais sans doute la tête, tant mieux. J'espérais mourir assez rapidement. Il me pressait à moi d'en finir. Je soufflai un bon coup. "A toi Edward. Je t'aime." Ce fut mes derniers mots, une lumière aveuglante m'éblouis, sans doute mes phare d'une voiture. Tant mieux, ma dépouille serait trouvée rapidement. Je ne pensai pas à Dan, à ma mère, à mon père. Non je ne pensais à aucun d'eux. Je ne pensait qu'à Edward, car il était ma raison de vivre, et sans elle, je n'avais plus qu'à mourir. Je sautai. Un coup de frein sonore se fit entendre. Et puis, plus rien.

"ALICE ! REVEIL TOI ! MON DIEU ALIIICE ! Je t'en supplis !"
J'entendais lointainement une voix étranglée. Non je ne voulais pas me réveiller, étais-je morte ? Quel était cette douleur alors ? Je toussai, ooh non ! J'étais en vie ! Je toussai une nouvelle fois. De l'eau s'échappa de ma bouche. Lorsque j'ouvris les yeux, je vis Dan, au dessus de moi, trempé, en pleur, le visage tordu par la peur et la joie en même temps. "ALIICE ! TU ES EN VIE ! Dieu merci !" Dieu ? Qu'avait-il à me sauver la vie ? Non ! Je voulais mourir moi ! Je refermai les yeux, aller, je voulais mourir ! Dan me secoua, j'ouvris de nouveau mes petits yeux sans expression. Dan me pris dans ses bras et me serra contre lui, il manqua de m'étouffer. Je lui fis savoir il me lacha.
J'aterris bien sur à l'hopital, c'était plus simple pour tout le monde de dire que j'avais glissé. Je ne tennais pas a terminer dans un hopital psycatrique. Daniel m'apportait son soutient, disant que nous étions allé ensemble sur le pont et qu'il avait fait tomber son portable, en essayant de le rattraper j'avais glissé. Lorsque je sortis, Ma mère m'avait refait ma chambre, acheter de nouveau vêtement, et mon père m'avait même acheter la New Beatle que je voulais en vert pomme comme j'en avais toujous rêvé. Bien qu'aujourd'hui elle me semblait tellement sans importance j'essaya de faire comme si tout était bien. J'aimais beaucoup cette voiture. Et ce fut avec plaisir que je l'utilisai. Seulement, voila, ma vie n'avait plus de sens. Je parlais vaguement avec Dan, qui me chouchoutait lui plus que jamais, je coupai les ponts avec Stella. La voir en sachant que je l'avais trahis me brisait le coeur. j'allais en cours, je faisias mes devoirs, j'occupais comme je le pouvais ma soirée et puis.. j'allias me coucher. Ma vie était incroyablement terne, Edward Masen n'était plus au lycée, et je ne savais pas si cela était mieux ou pas. Quoi qu'il en soit je ne lavais pas revu. J'étais un zombie, réellement. Mes parents se posèrent des questions, essayant de me redonner gout à la vie. Dan eu le droit à un interrogatoire, heureuse il répondit qu'il ne savait pas et qu'il me trouvait juste un peu fatigué et tristounette. Enfiate j'étais carrément déprimé, perdue dans les ténèbres. Et cela dura..
Diplomée. Etudiante. Re-diplomé.
Et voila, j'avais terminé mon cursus scolaire. J'étais allée à l'université et j'avais eu ma licence. Je ne savais pas quoi faire de ma vie, enfaite j'avais sérieusement envisager qu'elle ne s'arrête il y a trois ans. Mais depuis, j'avais mis de côté tout cela. Seulement, rester dans New-York me hantait. Et si je LE croisais ? non je ne voulais même pas y songer. J'anonçai à mes parents que je déménageai, il accueillir plutôt bien la nouvelle. Les parents de Dan promirent de m'aider à achter un bel appartement, Dan lui, fut plus sceptique. Il avait trouvé un emploi à New York et commençait fierement sa vie d'adulte. Nous avions fréquenté la même université, toujours ami. "Mais.. Alice tu.. tu t'en vas ? Et.. on se.. reverra ?" J'haussai les épaules et sur mon ton neutre habituelle "Sans doute, quand j'irais voir mes parents." Il acquiesça tristement et me serra dans ses bras. "Je t'aime" me chuchota-t-il. Je grimaçai. Je refusais de l'entendre dire cela, je lui souriais faiblement,e nfin du moins essayai de sourire.

En Caroline du Nord, se trouve une ville moyenne d'environ 15 000 habitants. Je ne la connaissais ni d'Eve ni d'Adam, je tombai seulement sur ce nom dan sl'adresse d'un magasin qui venait d'ouvrir et dont les produits semblaient faire des miracles. Enfaite, c'est le nom qui m'accrocha tout de suite. "Somber City" Somber.. sombre.. Parfait, je déclarai à ma mère que je voulais y habiter. Mon père s'étonna, mais pourtant, ils respectèrent mon choix. C'était assez loin de New York, tan tmieux je voulais rompre avec cette ville maudite, et oublier. Bien que le visage de cette ange diabolique me hantait toujours. Je DEVAIS essayer d'oublier.
Je décidai de m'inscrire à l'université de cette ville de la dernière chance, reprendre mes études en arts plastiques, et peut-être tenté une carrière de dessinatrice, ou styliste comme je le voulais autrefois. Il fallait bien vivre, ou bien faute de pouvoir le faire.. faire semblant.
Lorsque j'arrivais dans cette ville, j'eu la chance de trouver un luxueux appartement que Stan m'offrit. J'étais en plein centre ville, et le quartier parraissait sympa. Mais j'eu vite faire de découvrir l'incroyable histoire de cette ville. Les clans, els trahisons, les meurtres. Cette ville cachait plus de chose qu'elle n'y paraissait au premier arrêt. J'essayais de comprendre, de m'intéresser aux problèmes de cette ville, pour arrêter de songer au mien. Je ne sais pas encore bien qui soutenir, bien que les Johnson, un des clans, m'avais quelques peu convaincu. Pourtant, je refusais de m'arrêter là. Sans que je ne sache exactement pourquoi, petit à petit, l'avenir de cette ville et la réconciliation des deux familles me parut comme d'une importance capitale. Derrière boué pour me ramener au port, sinon.. je coulais.

III- Epilogue

Avatar : Leighton Meester
Mots de passe : Air, Malice & Champignon
Ton âge et comment tu as connu le forum : 15 ans, et j'ai connu le forum grace à Edward Masen qui m'a donné l'adresse.

Notre Alice a terminé sa fiche ! Very Happy

J'ai tout lu (oui oui Wink

) et je dois dire que cette petite Lily est très attachante ^^
Tu sembles avoir une bonne facilité pour écrire, tu nous as pondu un roman que j'ai trouvé agréable à lire ^^

La date de naissance que tu dois indiquer dans ton profil est celle de ton personnage et non pas la tienne (voir Annonce dans le blabla).
Les dates personnelles sont dans le flood, afin qu'on puisse fêter les anniversaires.

J'ai vu dans ta fiche que tu avais un appartement, donc je t'en attribue un d'office.
(Par la suite il te sera impossible de faire vivre Dan ici car nous avons demandé de ne pas faire de doublons pour les prénoms et c'est celui de Chris père)

Donc bien évidemment, tu es validée !

* Alice J. Droban * Bienvenueadmin2vb3

J'espère que tu t'amuseras parmi nous, bon jeu Smile

Et n'oublie pas de voter pour nous à chaque fois que tu passes sur le forum, merci ^^

Encore une tite donzelle qui n'a rien compris à la vie ! :roll:

Bienvenue, perds-toi dans les méandres de notre si jolie ville... infestée d'insectes dans ton genre... *soupir*

Spoiler:

Non mais ! Jane !!! Veux-tu te sauver ! Tu vas lui faire peur... diablo

Ne fais pas attention à elle, Alice, et change de trottoir quand tu vois cette peste... (Et surtout arrange-toi pour qu'elle ne jette pas les yeux sur Ed Wink

)

Spoiler:

Tout dépend si elle veut faire partie de la classe supérieure, la mienne, ou pas...
Et je fais ce que je veux !

Si tu l'embêtes je viendrai prendre sa défense... quand son petit ami ne sera pas dans les parages chiz

Et à ton avis pourquoi je l'embête ?

Aucune idée ! juan 1

Michael Dean, tu es mauvais acteur !

Salut tout le monde.
Pour la date de naissance, je vais changer Wink

désolé je n'avais pas vu. Et puis, merci pour l'appartement ^^
Pour Dan je ne comptais pas le faire intervenir, hormis dans mes posts par la pensée, lorsque Alice pense à lui, ou bien j'écrirais une converssation téléphonique à l'occasion. Mais comme le dit Alice "ils se reverront surement quand elle passera voir ses parents" enfaite, la petite Lily comme tu dis n'as pas vraiment envie de revoir son meilleur ami chéri. Peut-être que j'expliquerais pourquoi dans mes posts =P J'ai beaucoup écris mais pas tout quand même il ne faut pas exagéré. ^^
Jane, chacun son language pour dire bonjour et bienvenue ^^ Merci en tout cas ! Je dois te dire que ta petite intervention à egayé ma curiosité, j'ai hâte de faire un topic en ta compagnie. Désolé Michael, je ne suis pas vraiment tes conseils, mais... j'ai des tendances maso alors..
Mike je ne sais pas trop si j'ai bien compris, mais si tu parlais de MA défense et de MON petit ami sache que je n'en ai pas. Après je sais pas si tu parlais d'Ed ou Dan mais l'un ne veut plus me voir et l'autre c'est moi qui veut plus le voir xD

Voila. merci à tous.

Méfiance avec la Jane, enfin c'est un conseil d'ami... Wink

Cela dit, méfie-toi autant de Michael ! Mad

Bienvenue, amuse-toi bien sur EF Wink

D'après se que tu mets dans tes relations Esmée {le surnom à fusé, cela ne te dérange pas j'espère} tu aimes autant que tu déteste ce cher Michael... ^^ A faire à suivre.
Merci Wink

je suis sûre que je vais m'y amuser.

Euh... personnellement je préfère Esse... Esmée ça fait mémé mrgreen

Effectivement... nos relations sont compliquées avec Micka... non en fait ça c'était avant. Maintenant, nos relations sont inexistantes et vont le rester ! Mad

D'accord, Esse ^^ OOh moi Esmée je m'y suis habituée, j'ai lu un livre avec une "Esmée" pas trop mal alors sa ne me dérange pas.
Lol je sais pas si je vais tout comprendre un jour de tes relations avec Michael, mais j'essayerais ^^

lol c'est compliqué, oui, mais je veux bien t'expliquer Very Happy

Hum.................................................................. court

(Et moi c'est Micka mon surnom Very Happy

)

Je parlais d'Ed, plus haut ^^ juan2

C'est ça, file toi ! Mad

Tu ne sais faire que ça de toute façon ! sniif

Je t'en pris Esse, je suis toutes Ouie.
Lol Micka, si tu veux je t'appelle comme sa mais sa me fait penser au chanteur et j'ai beaucoup de mal avec lui. ^^ Tu préfères pas Mike ? *se fait oublier*
Edward.. Edward *rêvasse* Ooh mon prince, ma lumière, mon enfer, mon exécuteur.. Edward... Meeeuh ! Il veut plus de moi sniif

Le chanteur c'est mika sans c, et puis j'étais là avant lui !!! Mad

Et ce Micka là j'y tiens

Ah nan, pas Mike looool

Alors... ouh là, résumer l'histoire d'Esse et Micka... Shocked

Eh bien en fait, ils sont amis d'enfance parce que Micka est ami avec Mathias, le frère d'Esse. Donc Esse et Micka se connaissent super bien, ils sont amis puis finissent par tomber amoureux. Ca c'est du gros résumé. Ils sortent ensemble, mais Esse ayant eu quelques soucis relationnels, leur relation n'est pas complète... :P Lorsqu'elle l'est enfin, et après que Micka ait trompé Esse avec Jane ici présent ( Mad

), mais après aussi qu'Esse lui eu pardonné, Micka se fait arrêter pour viol... sur la personne de Jane, toujours présente... ( Mad

)
Micka va en prison, mais lorsqu'il a bon espoir de sortir, il demande Esse en mariage. Elle dit oui. Peu avant le procès, Esse, Matt (son frère) et Sydney (la petite amie de Matt) partent en Grèce pour changer les idées à Esse...
Mais en Grèce... tremblement de terre et on pense Matt et Esse morts...
Sydney rentre, l'annonce à Micka... qui ne met que très peu de temps à s'en remettre et convole en "justes" noces avec tout le monde... SAUF Esse !
Quand celle-ci rentre... parce qu'elle était vivante, tout comme Matt, elle comprend vite que Micka n'est plus le même, ne lui sera plus fidèle et n'a plus la même vision de leur relation... en gros... il l'a oubliée ! Donc elle déprime ! On en est là Laughing

(La joueuse aussi elle y tient à ce Micka-là... love

Même si... siffle

)

Ben c'est pas joli-joli tout ça ! ............................................................. court

(Et tu as un résumé aussi dans ma fiche de présentation. Même chose pour Tom qui n'est pas très... clair non plus Twisted Evil

)

» &&__ With Alice J. Droban ?

* Alice J. Droban *

* Alice J. Droban *

Sujets similaires

Sujets similaires